Electronique

La méchanique, l'électrotechnique et l'électronique industrielle me facine depuis longtemps. Mon premier laboratoire fut une boîte avec boutons, fils et ampoules que j'ai reçu à l’âge de 8 ans.
Très tôt déjà, je démontait de vieux jouets électrique pour récupérer moteurs, fils, etc.
Plus tard, un ami travaillant dans les appareils de jeux (flipper, Judbox, etc) ma permis de démonter des appareils défectueux pour la récupération de composants.
Ce n’est que lors de mon apprentissage de mécaniciens de précision et de mes premiers sous, que je me suis mis à acheter des boîtiers ou autres composants. Ma période d’apprentissage fût principalement aussi consacré à des bricolages pour la CB.
Mes premiers contact avec l’électronique numérique on débuté lors de mon travail de monteur sur des machines à découper des wafers chez Stoppani SA.

                                                                    

Dans cette société, j'ai aussi participé au montage méchanique d'appareils de mesures. Voici quelque souvenir:

       
Comparateur                Leveridge                          Télémètre pour ligne à haute tension.

Cette société fût aussi le producteur principal du système dauphin développé à l’EPFL à l’attention des étudiants.



Le développement de la nouvelle machine à découper les wafers fût aussi basé sur le bus dauphin. Durant la période Stoppani, j’ai connu plusieurs copains en électronique et qui m’ont inclus quelques règle sur les composants et calculs en électronique. Avant je bricolais beaucoup à l’instinct… bon cela fonctionnais aussi.
Suite à la faillite de la filiale de Stoppani du Val-de-Travers, je me suis rendu en Allemagne pour le service après vente de ces fameuse machine à découper les wafers. C’est dans une très petite entreprise que je travaillais, mais tous était des accros au Z80, moteurs pas à pas, commande numérique, reconnaissance d’image, etc. C’est durant cette période que j’ai pu participer à des développement un peu plus étendu en électronique.
Mais ma tâche principal restait la mécanique.
Le côté hobby électronique s’est ralentis suite à l’apparition de l’informatique. Je continuais par contre à faire des interfaces pour des copains. J’ai par exemple modifié un Commodore 64 pour faire clignoter des sapins de Noël et afficher des messages de fin d’année sur une télévision.


Avant mon Commodore, je possédais un AIM 65 de la maison Rockwell. C’est avec cet appareil que j’ai appris à programmer en assembleur et en basic. Un bricolage important fût la transformation d’un machine à écrire Olivetti en imprimante. Je continue en parallèles à l’informatique à faire des bricolages électronique, mais plus principalement sur des circuits Embedded avec interface web.
L’utilisation d’automates programmables m’intéresse aussi. J’ai ainsi pu réparer une vieille centrifugeuse grâce à un M-90 de la maison Unitronics. L’électrotechnique est pour moi un monde magique pour ses possibilités en créativités et d’automatisme.


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